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 Where is my mind? (William)

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William Stones
William Stones
CIA
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MessageSujet: Where is my mind? (William)   Where is my mind? (William) EmptyMar 3 Mar - 15:26



William A. J. StonesBang bang, I shot you down

Nom : Stones, famille d’immigrés anglais depuis la première guerre mondiale ayant ravagée l’Europe. Prénom(s) : William Alistair James, pour être précis. Voilà ce qu’on peut lire sur ses papiers d’identité officiels. Âge : Quarante trois années de péripéties plus ou moins sombres. Date & lieu de naissance : Né un dix-huit août à Savannah, état de Géorgie, là où vivent encore ses parents. État civil : Après des années de secrets et depuis leur retour aux US, William affiche officiellement ses fiançailles avec Logan. Qu'importe les réflexions ou les jugements, les deux hommes estiment qu'ils n'ont plus rien à cacher après avoir cru tout perdre. Orientation sexuelle : Pansexuel. Pour lui, l’attirance n’a jamais été une simple histoire de physique ou de genre. C’est la personne en elle même qui plus plait, qu’importe qu’elle soit un homme ou une femme. Métier/occupation : Agent terrain de la CIA, spécialisé en anti-terrorisme, infiltration, culture et monde arabe. Officiellement, son métier de couverture est celui du responsable de la sécurité de l’ambassade américaine de Messara et de ses diplomates. Groupe : Government Scénario, PVs ou inventé ? Inventey Avatar : Hugh Dancy Crédits : gif by lovcrime


Caractère La première chose qui se dégage de William, est sans nul doute son charisme. Au delà d’une apparence soignée, il dégage quelque chose qui se remarque, qui transcande au milieu d’une foule. Ce même charisme qui l’a toujours poussé à être plutôt sociable. Taquin, ouvert d’esprit, enclin à briser la glace avec à peu près n’importe qui. William est bien loin du cliché de l’agent secret froid et distant, chez lui, c’est plutôt le contraire. Pourtant, à côté de toute cette sociabilité, il en reste un être solitaire, qui ce complet dans cette solitude là. Les bribes de conversations au Starbucks du quartier lui suffisent, il estime que sa vie est bien trop compliquée pour accueillir des innocents à qui il devrait passer son temps à mentir. Son entourage se compose de collègues, de sa famille et de quelques amis triés sur le volet, pouvant se compter sur les doigts d’une main. La plupart étant d’ailleurs liés à son passé, ou à son présent, en tout cas avec une conscience de ses véritables activités. L’homme est loyal, que cela soit dans son métier comme dans sa vie personnelle. C’est pour lui une valeur primordiale, même si la confiance devant en découler est bien loin du compte. Les années ont fait de William un homme constamment sur la défensive, méfiant et observateur. Bien qu’il ne soit pas totalement paranoïaque, il a parfois quelques pulsions et tics, comme vérifier les micros et caméra potentiels, lorsqu’il arrive dans un nouveau logement. Protecteur envers sa famille et ses proches, William est prêt à risquer sa vie, voir même la donner, pour sauver ceux auxquels il tient. La notion de vie ou de mort est devenue abstraite au fil des années, sachant qu’à chaque mission il risque sa vie. En finir d’une façon plus ou moins douloureuse, ce qu’il fait qu’il arbore souvent une attitude totalement détachée, voir presque blasée, face aux risques de ses missions, ou diverses procédures. Mais à côté de ça, William est un passionné. Passionné dans ses rapports amoureux, passionné par ses activités, ou simplement par ses loisirs, mais aussi par sa fille à qui il voue une admiration sans borne. Le besoin de vivre pleinement, certainement parce qu’il frôle trop souvent la mort. Certains, au bureau, le qualifie de brisé. Brisé par les années et les épreuves et pourtant encore opérationnel. Sa morale s’est depuis longtemps envolé, il ne rechigne plus à tuer, à torturer, à faire ce qu’il faut pour mener à bien sa mission, quitte à faire de lui un être presque cruel. Il n’aime pas faire du mal, il n’y prend aucun plaisir, la chose est simplement devenu un automatisme. Une routine bien rôdé pour un être à la fois doux, abîmé et relativement déroutant.
Anecdotes, tics, manies • William a toujours su se servir d’une arme, depuis qu’il est en âge d’en tenir correctement une entre ses mains. Né dans une famille aux traditions républicaine, il est rapidement parti chasser avec son grand-père et son père, qui lui ont tout appris. Se repérer en milieu hostile, manier les armes à feu, le couteau de chasse, faire cuire du gibier et maintes autres compétences qui lui ont été utile lorsqu’il a rejoint l’armée. Son petit surnom, moqueur, donné par ses frères d’arme, était d’ailleurs « McGyver ». Aujourd’hui, son nom de code à la CIA est « Lawrence » en hommage à Lawrence d’Arabie.

• Sa fille est sa raison de vivre, la personne qu’il aime le plus sur cette terre. Il la préserve du mieux qu’il peut, éludant volontairement les questions précises sur sa véritable carrière. Elle ne sait pas qu’il est de la CIA, qu’il risque chaque jour sa vie sur le terrain. Elle est sa bulle de fraicheur et d’innocence. Il peut entrer dans une véritable transe de rage s’il apprend qu’il lui est arrivé quelque chose. Dans son portefeuille, trône d’ailleurs une photo d’elle, souriante et pleine de vie.

• Nombreux sont ceux qui doivent une faveur à William, pour une raison ou pour une autre. Aussi, là où beaucoup le prennent pour un fantôme, plus souvent dans la peau d’un autre que dans sa propre vie, ils sont rapidement étonnés de son réseau de connaissances. Aussi bien criminelles, que parfaitement légales.

• Passionné par ses études, la culture et le monde arabe, William donne encore des conférences, ci et là, intervenant également dans des universités pour des modules particuliers. Ses cours sont toujours bondés, au point que les secrétaires des universités ont déjà dû refuser du monde. Ce n’est pas qu’il soit le plus connu des spécialistes, mais c’est qu’il ajoute à ses récits, une dose de réalisme et de véracité sans nulle autre pareille. Animant son cours avec diverses anecdotes, toujours soigneusement sélectionnées, voir ajusté pour le public. Des discours vivants, dynamiques, uniques en leur genre.

• Le corps de William affiche de nombreuses marques, cicatrices, brulures et autres joyeusetés du terrain. Nombreuses ont été les épreuves physiques qu’il a subi au cours de sa carrière, notamment les épisodes de torture. Chacune de ses marques a une histoire bien à elle, sordide ou sanglante. Il a appris à accepter et aujourd’hui, n’y prête plus attention. Ce sont les autres qui, souvent, lui font remarquer à quel point il peut être marqué.

• Du fait de sa dose d’adrénaline dés qu’il est sur le terrain, lorsqu’il rentre sur le sol américain, William préfère largement des loisirs calmes, tel que la lecture, la pêche ou encore aller au cinéma, ou restaurant avec Logan. Seul le sport, quotidien, partagé entre des joggings et de la musculation, et divers sports extrêmes, le font un peu sortir de sa bulle.

• Prend un grand soin de son apparence, de sa vêture et de ses tenues. Son dressing est toujours impressionnant, particulièrement fournis et composé exclusivement de grandes marques. Des costumes Azzaro, des écharpes Burberry et des chaussures Hugo Boss, tout y passe, jusqu’à ses sous-vêtement. L’apparence toujours impeccable. Les seuls moments où il apparaît plus négligé sont lorsqu’il rentre d’une longue infiltration, la barbe fournie et les cheveux plus long, l’air fatigué et plus vieux. Mais dés qu’il remet un pied dans sa vie, ses bonnes habitudes reprennent le dessus.

• Il est rare que William est une véritable bonne nuit de sommeil réparatrice. Sujet aux insomnies et aux terreurs nocturnes, il lui arrive souvent, lorsqu’il est sur le sol américain, plus autant sur le qui-vive qu’en mission, de se réveiller en pleine nuit, en panique, sueurs nocturnes, allant jusqu’à la crise d’angoisse. Il a appris à s’y faire, à canaliser seul, au bout de quelques minutes, comme il le peut. Petit à petit, les épreuves et les horreurs de son quotidien ont eu raison de sa sanité d’esprit.

Pourquoi ce choix de carrière ? Après un master degree en culture et langue arabe (en plus de quelques dialectes locaux) à Princeton, William décide de rejoindre l’armée en tant que traducteur et linguiste terrain, pour mettre au service de son pays et de son patriotisme, ses compétences. Approché par un haut gradé peu de temps avant la remise des diplômes, il n’avait jamais envisagé cette voie là, mais trouva en elle un réel épanouissement. C’est après une mission terrain particulièrement périlleuse, aux alentours de Messara, que William sera repéré par la CIA. Ses talents terrain, débrouillard, au sens d’analyse affuté, en plus de sa connaissance des locaux et de leurs mœurs, permettront à son équipe de s’en sortir, saine et sauve. Quelques messages déchiffrés, un savoir affiché et il n’en faut pas davantage pour que la CIA le convoque. Il acceptera la proposition, trouvant en cet engagement un autre moyen de servir son pays, plus profond, plus efficace mais aussi plus sombre. Il n’a jamais regretté cette décision, en signant son contrat et les divers accords de confidentialité, même si l’entrainement à été particulièrement éprouvant, et les épreuves terrains ardues, depuis.

Derrière l'écran
Pseudo / prénom : wiise (mary) Âge : 26 Fréquence de connexion : 9/7 Comment tu as connu le forum ?  :vito:  Un dernier petit mot ? J'aime le paté 




He didn't take the time to lie


Jamais William n’aurait cru se destiné à cette vie qui est aujourd’hui la sienne. Bien que d’origine anglais, de part ses ancêtres, c’est dans la tradition républicaine américaine qu’il grandit. Les Stones, immigrés depuis plusieurs générations se sont parfaitement acclimaté à leur nouveau pays, de même qu’à leurs nouvelles coutumes. Sa famille, bien que considérée bourgeoise, ne regorge pas non plus d’une richesse opulente et indécente. William, comme le reste de ses cousins, a toujours eu conscience de la valeur de l’argent et du travail bien fait.

Intellectuel, garçon de savoir et de livres plus que d’action, il en demeure pourtant aventureux et particulièrement curieux. Bien que le sport ne soit pas spécialement sa discipline favorite, l’aventure, elle, l’est. Les longs weekends en forêt, rituel de son père et de son grand-père, dans un chalet isolé de tout. Il apprendra à tirer, à chasser, à survivre avec peu de moyens, en milieu hostile et sauvage. C’est également avec son grand-père qu’il apprendra à pêcher et se découvrira un gout prononcer pour la discipline qui canalise ses premiers émois d’hyperactivité et qui aujourd’hui encore, l’aide à se calmer l’esprit, loin des tensions et des conflits de ses diverses missions.

Sa mère, portée sur la géopolitique, économiste et professeur à l’université, lui donnera le gout pour la chose, pour la culture du monde et des civilisations. C’est donc naturellement qu’il s’orientera vers les langues et la géopolitique à son tour, à Princeton, en choisissant de faire un master en culture et langue arabe, le parlant aujourd’hui couramment. L’Arabe et de nombreux dialectes et langues locales y étant associé. Elève brillant et appliqué, il obtiendra les félicitations du jury et son diplôme haut la main. Mais en parallèle de son aspect studieux et appliqué, ce qui prime chez William, c’est son désir d’aventure et d’adrénaline. À l’époque, avec une bande d’amis rencontré à l’université, ainsi que sa petite amie du moment, ils partiront dans diverses aventures aux quatre coin du pays. De l’escalade dans le grand Canyon aux descentes rapides vers le Niagara, allant même jusqu’à une expédition au Groenland. William vit d’expérience extrême et de savoir pur. C’est ce qui le poussera à accepter la proposition de l’armée, cherchant à le recruter pour ses talents reconnus de linguiste. Son grand-père, anciennement militaire, aujourd’hui à la retraite, appréciera grandement son engagement et le confortera dans cette idée. Sa mère et son père, eux, seront bien plus frileux et de grandes tensions diviseront la famille. William finit alors pour s’éloigner, focaliser sur son engagement et son envie de servir le pays.

C’est au hasard d’une mission, en Afghanistan à l’époque, qu’il rencontre Jill. Humanitaire américaine, du même âge que lui. Prenant une année de volontariat à l’étranger après avoir achevé son master, tout comme William. Le courant passe immédiatement et il ne leur faudra que peu de temps avant de commencer à se fréquenter. Loin du pays, loin du calme de la vie citadine, leur quotidien est rythmé par les conflits, les affrontements et l’adrénaline, aussi aucun des deux ne réalise véritablement le poids de leurs actions. Jusqu’au moment où, à la fin de son volontariat de six mois, Jill regagne le sol américain, laissant William continuer ce pour quoi il s’est engagé. La relation à distance n’est pas évidente, pourtant les deux se sont bien trop attachés l’un à l’autre pour rompre ce qui commence à marquer leurs vies sur la durée.

Pourtant, lors de ce qui sera sa dernière mission en tant que militaire, William sera repéré par la CIA de part ses capacités a avoir déjoué un attentat, en ayant jouer de ses compétences en dialogue et en décryptage. Il se souvient de la peur lui grignotant les entrailles, de l’adrénaline pulsant à ses tempes et plus largement, de la question de vie ou de mort de cette mission.
La convocation dans le bureau d’un recruteur de la CIA, William l’aborde avec une certaine retenue. Comme beaucoup, il est au courant de nombreuses rumeurs circulants sur l’agence, alimenté par le folklore populaire des films et séries télévisées et honnêtement, il n’a aucune idée de ce à quoi s’attendre. Pourtant, à la fin de l’entretien, il signera son contrat. Son nouveau contrat, sa nouvelle vie, délaissant l’armée pour un nouveau poste de façade. Fierté de servir son pays, d’agir avec plus de moyens qu’il en aurait eu en tant que simple militaire, mais s’exposant aussi à davantage de risques. C’est après avoir annoncé la bonne nouvelle à Jill, lui, quittant l’armée pour un poste d’assistant du chef de la sécurité de l’ambassade américaine de Messara, officiellement, pour le public, qu’elle lui lâchera la bombe qui changera à jamais sa vie. Après un peu moins d’un an de relation, Jill se retrouvait enceinte et son code de conduite la poussait à ne pas vouloir se débarrasser de l’enfant. Un nouveau poste lui assurant un soutient financier conséquent, William signant lui même pour une promotion d’apparence plus tranquille. Tenant fermement la main de son petit-ami, elle lui offrira la vérité, elle veut de cet enfant. Elle veut de cet enfant avec lui. Et finalement, Billie sera un des plus beaux cadeaux que William n’ait jamais eus.

Mais avec les années, les missions pour la CIA s’enchainent. William part sous couverture, en infiltration à plusieurs reprises, demeurant injoignable de longs mois. Jill use de toute la patience possible pour attendre celui qu’elle a épousé et avec qui elle élève leur fille, lorsqu’il est sur le sol américain. Le corps de William s’en veut marqué par les épreuves, il change, il se renferme, malgré un côté toujours sociable, son regard n’est plus le même, sa flamme de justice, de patriotisme et de bonheur semble vaciller. Jill le met en garde, plusieurs fois, face à cette nouvelle profession qui semble bien plus éprouvante qu’elle le pensait, mais William la rassure, élude les questions et dépose un baiser sur ses lèvres. Il passe le plus clair de son temps avec Billie, dont il s’occupe pratiquement énormément lorsqu’il est en famille. Il donne tout pour elle, s’en rapproche énormément, si bien que Jill elle même ne sait pas quoi répondre lorsque la petite réclame désespérément son père, à l’autre bout du monde, à risquer sa vie. Il lui ramène des cadeaux, la comble d’un amour intense et surprotecteur. Les horreurs qu’il affrontent dans chaque mission lui font comprendre à quel point une vie est précieuse, la sienne, pour sa fille, même s’il apprend à ne plus avoir peur de la mort.
Mais son éloignement moral, son esprit vagabondant ailleurs, devenant plus distant, plus froid aussi, en plus des nombreux voyages, Jill ne le supportera pas. Billie n’a que cinq ans lorsque le couple Stones divorce, simplement parce que Jill fera comprendre à son mari qu’elle ne peut plus d’une vie de solitude et de froideur lorsqu’il rentre au pays. Qu’elle a besoin de lui, plus que jamais, pour élever leur fille et reprendre une vie normale. Du moins, qu’elle juge normale. William en sera affligé, douloureusement affligé, mais forcé de se rendre à l’évidence, il ne peut plus rendre Jill heureuse. Il ne le fait plus depuis quelques années déjà et son esprit, tout comme son corps, sont en train de se marquer au fil des épreuves et des missions.

Malgré tout, les deux resteront en contact, proches, pour le bien être de leur fille, innocente créature que William ne va faire que chérir davantage, tout le temps où il peut disposer d’elle. Il ne ratera jamais une rencontre parents-professeurs, malgré son emploi du temps et ses missions, ayant posé un ultimatum à son supérieur direct à la CIA.

Du haut de ses vingt neuf-ans, William semble pourtant bien plus adulte, mâture, voir fatigué. L’élégance s’affiche pourtant sur toute son apparence, allant de pair avec les indécentes primes et indemnités qu’il touche pour risquer sa vie chaque jour sur le terrain. La solitude s’installe dans sa vie. La plupart du temps, il n’est qu’un fantôme, présent sur sa terre natale que quelques mois avant de repartir de nouveau. Il enchaine les aventures, distractions amusantes, auxquelles il n’accorde aucun réel intérêt sur le long terme. Il sait que sa vie ne lui offre pas le loisir de repartir sur quelque chose de sérieux. Qu’il est plus facile de mentir à une relation d’un soir qu’à une personne chaque jour à vos côtés.

C’est pourtant des suites d’une conférence à des étudiants, donnée à l’université de Columbia, dans le cadre de son master et de ses expériences, qu’il rencontrera celui qui deviendra, contre toute attente, son partenaire de vie. William n’étant pas attiré par un genre ou un autre, profondément pansexuel, il tombera pourtant sous le charme de Logan, un des étudiants ayant assisté à la conférence, rencontré au bar non loin de l’université. Leur échange est d’abord purement intellectuel, porté sur des débats et des faits d’actualités, mais la nuit, elle, prendra une toute autre tournure.
William se souvient encore du choc lorsqu’après quelques mois de relations plus ou moins suivis, il croise Logan dans les locaux de la CIA, tandis qu’il se rend à un meeting concernant sa nouvelle opération à venir. Il se souvient de la gêne, du malaise, même, après des mois de mensonges concernant sa véritable occupation. Cet événement, bien que surprenant et complètement déstabilisant, poussera William à ne pas reculer, au contraire. Il trouvera appréciable de pouvoir se confier à Logan, de pouvoir compter sur son soutien et son oreille attentive. Les deux hommes ne se sont jamais considérés comme un couple, ils n’ont jamais osé offrir une dénomination quelconque à leur histoire, qui dure depuis pourtant dix ans aujourd’hui, dans un certain secret. Mais ce qui est certains, c’est que William aurait du mal à affronter sa vie aujourd’hui, si Logan n’en faisait pas partie.

L’homme n’est plus le même, éloigné de nombre de ses proches, plus solitaire qu’il a pu l’être par le passé. Sa vie tourne essentiellement autour de sa fille, Billie, de Logan, de ses collègues de l’agence, et de ses missions. Les apparences sont parfaitement bien conservées, l’apparence intacte et attrayante, mais au fond de son regard, il manque quelque chose, une joie de vivre depuis longtemps disparue, avalée par les épreuves et les horreurs qu’il a pu endurer. Stress post traumatique, qu’il se traîne depuis longtemps, légère paranoïa parfois, et bien sur, surprotection de sa fille. L’homme n’est plus celui qu’il a été et ne le sera plus jamais, parce qu’après plus de dix-huit ans au sein de la CIA, il est impossible d’en sortir indemne.

Sa dernière mission lui a couté cher. Bien plus cher que toutes les autres avant elle. Même si William pensait avoir tout vu, tout subis, même les pires tortures, cette fois-ci, il a bien cru que c'était la fin. Fait prisonnier et torturé, il a été porté disparu en mission par l'agence qui ne parvenait pas à le localiser. Il s'est abandonné à la fatalité, s'estimant foutu. C'est là que contre toute attente, après des mois d'emprisonnement et de négligence, Ashton et Logan l'ont sorti de là. Il imaginait déjà son compagnon faire son deuil de lui, lorsque ce dernier l'a fait libérer.
Affaibli physiquement, martyrisé psychologiquement, William a eu besoin de se reconstruire. C'est grâce à Ashton, frère d'arme et ami de longue date, que Logan et lui parviennent à se faire oublier plus de huit mois dans un cottage anglais perdu au milieu d'une campagne verdoyante. L'atmosphère douce et apaisante permet à l'agent de s'oublier et à l'homme de se reconstruire. Logan lui fera même sa demande, au milieu du jardin, par un beau jour d'hiver enneigé. Fiancés et plus soudés que jamais, William accepte de revenir à la réalité en regagnant les états-unis. Sa belle mère a besoin d'eux, l'agence n'a jamais lâché Logan et plus largement, il ressent le manque puissant de sa fille. C'est donc non sans appréhension qu'il pose de nouveau un pied sur le sol américain, sans savoir de quoi demain sera fait.

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MessageSujet: Re: Where is my mind? (William)   Where is my mind? (William) EmptyMar 3 Mar - 15:53

Excité Excité Excité Excité Excité Excité Excité Excité Excité Excité Excité

Rebienvenue chez toi ! Hi ! Hi !
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MessageSujet: Re: Where is my mind? (William)   Where is my mind? (William) EmptyMar 3 Mar - 15:54

LE RETOUR À LA MAISON yeux brillants
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MessageSujet: Re: Where is my mind? (William)   Where is my mind? (William) EmptyMar 3 Mar - 16:43

Rebienvenuuuuuuuue cheerleader
On avait pas trop eu l’occasion de se croiser sur le fo’, mais je suis ravie de t’y revoir Vi vi

Je lis tout ça dès que je peux yeux brillants *poste depuis son cours de latin, pendant que les élèves sont en plein contrôle mouhahahah*
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MessageSujet: Re: Where is my mind? (William)   Where is my mind? (William) EmptyMar 3 Mar - 21:57


Bravo Invitétu fais à présent partie des GOVERNMENT ! Drapeau USA

Welcome back home La love J’avais tellement peur que dans ton sadisme tu détailles horriblement ce qui est arrivé à William du coup Rofl mais ça va, t’as fait soft, mon cœur en chamallow te remercie Mdr D’ailleurs il a fondu à la mention de la demande en mariage Blue love Mon Scott intérieur est très fier de son frère /sbam/

Si tout a été fait correctement tout a été recensé, mais n'hésite pas à vérifier que ton avatar, ton prénom & ton nom, ainsi que ton métier ont bien été noté. Vi vi L'erreur est humaine et aux dernières nouvelles le staff est humain, alors on n'est à l'abri de rien ! Fou

Il est à présent grand temps de faire ta fiche de liens et de RPs, Héhé n'hésite pas à aller sur les fiches des autres membres pour demander des liens et/ou des RPs d'ailleurs Hinhin Tu peux également proposer des idées de liens avec nos prédéfinis. Innocent Tu trouveras toutes les infos sur comment faire ici. Hehe

Si jamais tu as besoin d'un partenaire très important pour ton personnage tu peux toujours en faire un scénario ou un pré-lien dans cette partie. Cute Tu pourras lire les bonnes pratiques du scénario et du pré-lien par là. Coeur

Pour faire connaissance avec les autres membres nous t'invitons à venir flooder avec nous ! What a Face Que ce soit au Bac à Sable pour les jeux en tout genre ou au Parloir pour papoter plus librement. Hystérique

Au cas où ta vie IRL prendrait trop de place n'oublie pas de venir nous prévenir dans les Absences. Please

Le Staff reste à ta disposition si tu as besoin de quoique ce soit. Huhu

Et surtout... AMUSE TOI BIEN ! cheerleader

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MessageSujet: Re: Where is my mind? (William)   Where is my mind? (William) EmptyJeu 5 Mar - 17:20

Bon retour parmi nous Slurp
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